Texte méditatif n° 3 – Les blessures de la vie
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Au cours de la vie, certains événements blessent notre cœur. Ces faits s’inscrivent dans la mémoire des cellules créant ainsi de forts déséquilibres émotionnels, tels que des blessures profondes, des sentiments désagréables, des souffrances morales.
De plus, ces blessures nous maintiennent prisonniers et dépendants d’états négatifs qui bloquent la joie de vivre.
« Pourquoi la souffrance, l’incompréhension, l’injustice, la douleur ? » Tous ceux qui ont, un jour, eu le cœur blessé, ont formulé ces interrogations.
Cessez de vous occuper du passé
Cessez de vous occuper indéfiniment du passé avec les « pourquoi » et les « comment » mais décidez aujourd’hui de vous ouvrir à autre chose : à une dimension initiatique et spirituelle de vous-même.
À partir de là, vous commencez à libérer les attentes, les attachements inutiles, les ressentiments et tout ce qui peut vous être encore douloureux. Le chagrin, l’amertume empêchent d’exprimer votre vraie nature et vous privent du pouvoir de retrouver le chemin du bonheur.
Alors, que faut-il faire pour sortir de la souffrance ? La souffrance est inévitable tant que l’on n’a pas trouvé sa vraie demeure. Votre bonheur ne dépend pas de ce que les autres vous ont fait, mais repose uniquement sur votre équilibre vibratoire, celui que vous choisissez de réaliser maintenant.
Pacifiez vos sentiments
Il est temps de pacifier vos sentiments et vos tourments pour retrouver l’harmonie intérieure. Pour vous y aider, vous pouvez utiliser la méthode de l’observateur silencieux, qui s’avère révélatrice et curative.
Fermez les yeux pendant quelques instants et observez la situation de plus haut. Ne permettez pas au mental d’argumenter, d’analyser ou d’interpréter, mais laissez la partie la plus élevée de vous-même saisir la source subtile de vos peines.
Reprendre la responsabilité d’une vie harmonieuse nécessite de laisser derrière soi les blessures du passé, de « quitter » un certain nombre de souvenirs lourds avec lesquels vous avez confondu votre identité, pour poursuivre une existence heureuse.
extrait du livre ‘Il était une fois le chemin‘ – Véronique Sorrentino
